Aller au contenu
Mise à jour des cours ! Mise à jour des cours !

Onirian

Élève
  • Compteur de contenus

    61
  • Inscription

Messages posté(e)s par Onirian

  1. Juste à temps, ma participation au concours. Cette image a été entièrement dessinée, sans photobashig ou autres. Les seuls brushes utilisés ont été ceux fournis de base dans photoshop et ceux de Spartan (en téléchargement au début des cours de la partie 2). Le texte en fond de l'image est celui de CITES, qui a interdit le commerce de l'ivoire en 1986. Et à la louche, je dirais une trentaine d'heure de boulot ^_^.

     

     

     

    2127 : mort du dernier éléphant du monde, tué par un homme qui voulait, je cite : "savoir ce que ça fait d'éteindre une espèce".

     

    En effet, malgré les textes interdisant le commerce de l'ivoire et autres interdiction de chasser, les éléphants ont vu leur population diminuer drastiquement d'année en année. De surcroit, une épidémie en 2112 a décimé la plupart des éléphants vivants en captivité et a rendu leur reproduction très compliquée. Couplé à une réduction budgétaire drastique suite à la crise financière de 2117, au braconnage qui ne s'est jamais arrêté (les braconneurs allant jusqu'à tuer les éléphants dans des zoos, tant l'ivoire est devenu précieux) et à la destruction de son milieu naturel, l'éléphant, pourtant symbole de sagesse dans de nombreux pays a finalement succombé.

     

    Cependant, cette date marque aussi la naissance de la "Fondation Ivoire", financé initialement par plusieurs milliardaires, et qui va acquérir avec le temps un poids politique considérable, au point d'assigner des pays en justice et les forcer à changer leur lois et à investir massivement pour protéger la faune et la flore.

     

     

     

    Elephant-concours-DPS-Jan2018-Onirian-2.png

  2. Mettons que je vende une image de "Raphaelus" à 1000€ à une société appelée DigitalePeinture.ecole (toute ressemblance avec un quelconque existant est nécessairement le fruit du hasard ^^). Si je comprends bien, si je ne facture pas les droits d'auteurs pour être full compatible AutoEntrepreneur, ça laisse donc deux options :

    je ne donne pas du tout les droits : c'est le cas où je vends juste l'image : DigitalePeinture.ecole pourra imprimer et accrocher dans son salon. Où le cas ou j'ai imprimé moi même l'image et je l'ai envoyée physiquement (print).

    Je précise dans le contrat que j'offre les droits pour 0€ (parce que je me suis déjà fait plaisir, les 1000€, caché dans ma tête, ça voulait dire en vrai 800€ de boulot + 200€ de droit mais sur la facture, c'est juste écrit "1000€ pour la réalisation" et comme ça l'état me fiche la paix.

    DigitalePeinture.ecole pourra donc dans le second cas à son tour vendre des T-Shirt supers beaux avec Raphaelus dessus alors qu'il n'a pas "officiellement" payé de droit d'auteurs,

     

    En fait, si j'ai tout suivi, ça pose juste problème dans le cas ou les droits peuvent être récurrents. Genre si je veux négocier de toucher 5% sur la vente de chaque t-shirt Raphaelus, parce que ce montant là ne peux pas passer sous le régime AE.

     

    Et donc, le régime le plus légal de tous, c'est d'avoir les deux status et de facturer sous l'AE 800€ de réalisation et sous la MDA : 200€ de droits et x% sur la vente de produit dérivés. Sauf que c'est pénible à faire.

     

    J'ai tout bon ?

  3. Sur le principe, je suis d'accord et j'ai entendu pas mal de gens râler sur la mda, mais lorsque je me suis renseigné je suis tombé sur ça : https://www.service-public.fr/professionnels-entreprises/vosdroits/F22428

    Les artistes auteurs d'œuvres (littéraires, dramatiques, musicales, chorégraphiques, audiovisuelles, cinématographiques, graphiques, plastiques, photographiques...) ne peuvent pas opter pour le régime de la micro-entreprise pour exercer leur activité, car leurs rémunérations (vente d'œuvres d'art, droits d'auteurs...) sont obligatoirement soumis au régime de protection sociale des artistes-auteurs (Maison des artistes-sécurité sociale ou Agessa).

    Du coup, il me semble que ce status n'est, légalement, pas compatible.

     

    Pour prendre un exemple plus précis, l'activité en question, serait de vendre des illustrations commandées (ex : des cartes pour des livres de Fantasy) et des prints. Et autant je préférerai le statut d'auto entrepreneur, autant il me semble que ce n'est pas légal. Mais je serai vraiment ravi d'avoir tort ^^.

  4. Voici un topic un peu rébarbatif mais absolument nécessaire, si on veut vivre (même en partie) du digital painting, à un moment, il faut se créer une structure juridique et faire les choses correctement.

     

    En gros, pour vendre des œuvres, il faut s'inscrire à la maison des artistes et donc à l'URSSAF, comme il est écrit .

     

    Une fois ce c'est fait, on peut émettre des factures & autres, mais c'est aussi là que pour moi commence le grand chaos, en partant de détails tous bêtes, mais quand on a jamais fait (et qu'on est un peu allergique à l'administration, soyons lucide), c'est compliqué.

     

    Comment on fait une facture ? J'ai vu passer des histoires de "précompte", c'est quoi ?. Et probablement un tas de trucs dont je n'ai juste même pas conscience. Donc si quelqu'un connait un lien magique qui explique tout, genre "L'administration pour les artistes-noob-administro-allergique", ce serait vraiment génial.

     

    Et sinon @Spartan, vu que tu es forcément passé par là, une petite page qui en parle, ce serait super top, parce que devenir Digital Painter, c'est apprendre à dessiner, mais c'est *aussi* maitriser ce genre d'à côté moins glamour et hélas indispensable.

     

    Merci d'avance pour votre aide !

  5. En plus de ce qu'a dit Valens et qui est très vrai, un truc qui peut être aussi intéressant à faire, c'est dans photoshop, passer une image de référence en niveaux de gris, puis jouer avec le réglage des "niveaux". Ca peut quasi transformer ton image en une image avec juste deux nuances : noir & blanc, ça peut éventuellement t'aider à repérer les ombrages et les formes pour exercer ton œil, alors ça n'aura pas le côté cartoon que tu recherches, mais l'idée, c'est d'apprendre à repérer les zones pour les simplifier.

     

     

  6. Honnêtement, si tu peux te le faire financer, n'hésite pas. Je ne connais pas le niveau de la formation elle-même, mais ils ont des noms : Simonetti, Lacoste, Alvarez... pour connaitre un peu leur taf, ils sont vraiment bons. A coté de ça, le site a l'air relativement sérieux, le programme proposé (j'ai juste survolé), pas déconnant, donc dans le pire des cas, ça peut être quand même un guide pour te montrer le chemin.

     

    Quelque soit le niveau de la formation (et Spartan est le premier à le dire) ce qui va compter, c'est souvent plus ce que toi tu vas faire pour en retirer des bénéfices. Juste l'achat ne te fera pas progresser d'un iota. Mais bosser régulièrement avec un guide... ça peut grave le faire.

     

    Bref, moi je dis, si tu peux, lâche-toi .(En tout cas, moi, alors même que j'ai déjà acheté une partie du programme indispensable ici, si mon taf m'offrait ça, je me jetterai dessus).

  7. C'est quelque chose que je connais. Si je faisais de la psychologie de comptoir, je dirais que tu t'es rendue compte de tes progrès et que, inconsciemment, tu t'es mis une certaine pression, parce qu'il y a un certain niveau que tu veux atteindre, sauf que ce niveau, même si tu peux le toucher, est encore en dehors de ta zone de confort (zone qui s'agrandit à mesure que tu progresses). Du coup, devant ta tablette... Y a une forme d'angoisse qui se développe, éventuellement masquée par un vide, ou de l'indécision (le cerveau est très fort pour ne pas affronter ce qui l'angoisse).

     

    Donc, mon conseil saveur, c'est, pendant un moment de juste "faire". C'est à dire que tu oublies toute idée de beauté, de performance, de joli. Juste, tu te mets au défi de, tous les jours, genre pendant 15 jours ou 1 mois (c'est important qu'il y ait une fin), t'assoir à ton bureau, ou sur ta tablette, ou où tu veux, et de faire "le dessin minimum", et le dessin minimum, c'est.... un trait. Juste ça. Si tu t'installes, tu fais un trait, alors c'est ok.

     

    Et puis une fois que tu y es, installée et tout... si tu fais un trait, deux, ca doit pas être la mort non ? Et tu verras, certain soir, tu vas dessiner pendant une heure sans même t'en rendre compte, et certain soir, y aura juste un ptit gribouillage.

     

    Le truc à chercher, ce n'est pas de faire beau, mais de faire, et de faire avec plaisir. T'as croisé un lapin ? Dessine un lapin. Tu sais pas faire ? Dessine un lapin moche ! Fait lui des grands yeux, des grandes dents et une carotte à côté.Et si ca ressemble à un truc d'un gamin de 5 ans, ben en fait, c'est jackpot quand même, parce que ça voudra dire que t'as fait un dessin, t'as dépassé ton blocage et t'as dessiné pour de vrai.

     

    Le conseil de Ganakel est excellent aussi, à plusieurs, c'est plus facile de s'y mettre, c'est la même idée qui est derrière ^^.

     

    Bref, enjoy !

  8. Il n'y a pas de réponse universelle à cette question, en gros, ça dépend surtout de toi et de ton caractère.

     

    En gros, il faut viser le chemin qui te permet de rester motivé. Si abandonner cette illus est douloureux et fait que tu ne veux plus dessiner du tout parce que tu le vivrais comme un échec très difficile à surmonter, alors il faut t'accrocher jusqu'à arriver à un résultat au moins "acceptable" (quitte à la reprendre de zéro d'ici quelques mois), si au contraire tu n'en peux plus, fait autre chose, de plus simple, pour te vider la tête.

     

    L'apprentissage du digital painting, de ce que je vis au quotidien, c'est surtout l'apprentissage de la gestion de l'échec. Parce qu'avant de réussir à faire un dessin cool, forcément, on se vautre, beaucoup et souvent. Et ça pique.

     

    Et si tu veux une réponse plus précise... Vu comment tu t'es déjà accroché mais que tu en as marre, je dirais qu'un truc à tenter ce serait peut être d'identifier ce qui te pose problème de manière précise, genre j'dis n'importe quoi, la gestion de source de lumières multiples et colorée et de te faire une illus, bien plus petite, bien plus simple, mais qui te fait travailler ce point. L'idée étant de te garder cette image là comme but (pas d'abandon) tout en faisant "autre chose".

     

    C'est comme les routes en montagnes, elles sont sinueuses parce que montrer directement, c'est compliqué.

     

     

  9. Je vais te dire, j'ai acheté les cours (partie 2 seulement), précisément à cause de ce problème là.

     

    Le "problème" avec l'apprentissage du digital painting, c'est que ça va dans plein de directions en même temps et que c'est un apprentissage long. Donc, durant l'apprentissage, on a le temps d’expérimenter touuuuuutes les émotions. De l'exaltation folle à la plus morne déprime et comme il faut travailler plein de choses en même temps. De la pure théorie genre perspective, des gestes techniques (dessiner avec l'épaule et pas juste le poignet), la mémoire, l'imagination, la compréhension de ce qu'on voit, un sens des couleurs, des contrastes, et en même temps que tout ça, il faut être créatif.

     

    Alors j'ai découpé. Les cours ne donnent pas vraiment des connaissances ou même des exercices impossible à trouver ailleurs, mais ils sont "structurés". Tel chapitre, tu bosses tel truc, tu as tel, tel et tel exo à faire. Ça élimine de fait la question de "qu'est-ce que je fais ?" (et tous les dérivés du genre :  faudrait que je travaille quoi en premier ? Est-ce que je vais pas me décourager si je tente tel truc, c'est peut être trop compliqué ? etc...) pour se concentrer sur les compétences à acquérir.

     

    Dans le même esprit tu as les "Challenges" (ex : pendant un mois, je dessine un personnage tous les jours). Une fois lancé, tu assumes. Le fait que le challenge ait une date de fin fait que, si à mi-chemin tu trouves ça barbant, tu n'as pas la perspective de devoir faire ça ad vitam aeternam. Te dire, ok, juste 10 jours à tenir, franchement, ça se fait (et puis on se sent fier quand on a réussi à aller au bout d'un challenge, promis ^^). Surtout que généralement, le but de ces challenges est de "faire", pas de "faire bien".

     

    La encore, l'avantage c'est que tu décides une fois, quitte à prendre un truc au hasard ou regarder les trucs à la mode (en ce moment il y a Mer-May (Mermaid), une sirène par jour pendant le mois de mai) et après tu ne te poses plus la question, tu fais. Et après quelque temps, tu te rendras compte que faire des véhicules, c'est cool, et des paysages, c'est nul, ou l'inverse.

     

     

     

    Et pour finir "Le" sujet génial et parfait, c'est un mythe. Si t'as spontanément envie de faire un truc, go, lâche-toi, mais si c'est pas le cas comme en ce moment, alors il y a peu de chance pour que tu trouves un sujet génial qui te remette le pied à l'étrier et te transforme en dieu du DP.

     

    Quitte à faire de la psychologie de comptoir, je dirais que tu te sens stagner et que camouflé derrière un buisson il y a le découragement et surtout la peur qui se pointe. Tant que tu ne trouves pas de sujet, ton cerveau n'a pas à se confronter au manque de progrès et à cette fichue peur de l'échec. C'est une excuse tout à fait pratique ;-).

     

    Mais ce n'est que ça.

     

    (ceci étant dit, je ne te jette carrément pas la pierre, le cerveau est un truc vachement pas docile, et même quand on a conscience du processus, c'est bien galère de reprendre la main ^^).

  10. Et la suite.

     

    Là encore, du bon et du moins bon, mais surtout pas mal de tests parce que "comprendre" le volume en 3d est clairement une de mes faiblesses pour l'instant. Traits fait au copic 0.2. Ça ne pardonne pas les erreurs, mais ça force à réfléchir avant de tracer. C'est par ailleurs un exercice que je vais garder dans un coin de ma tête et refaire régulièrement en guise "d'échauffement" je pense, il y a beaucoup plus à en tirer que ce que j'ai pu obtenir en une soirée.

     

    Ceci étant, je suis relativement content de la main (que j'ai recommencé pas mal de fois, notamment en m'inspirant de la photo (très jolie) pour mieux la comprendre).

     

    FullSizeRender-3.jpgIMG_7424.jpgDPS-Prog-2-1-ex5-fil-de-fer.jpeg

  11. Apparemment un bug a supprimé mon précédent message alors que je modifiais le titre... Je refais donc.

     

    Donc, j'ai acheté la Partie 2 et je me lance (pour info, je n'ai pas fait la partie 1). Premier exercice, en apparence pas si compliqué, mais une fois qu'on s'y attaque... Disons que ça rend humble, surtout quand je vois le résultat souvent excellent obtenu par les autres. Pour tout dire, hier soir après avoir bouclé les exos (j'en ai aussi fait un peu sur papier mais je n'ai posté que le digital), l'idée d'atteindre le niveau que je vise en digital paintng semblait bien improbable.

     

    Ceci étant, vu qu'il parait qu'il faut être "confortable avec l'idée d'être misérable" pour progresser, je poste le résultat, même si je vois des tonnes de défauts sur chacun des dessins.

     

    Ecureuil-2.pngFleur-1.pngFlamands.png

  12. Alors à titre personnel, j'appelle cette étape l'étape du "Vilain petit canard" (j'ai entendu l'expression de la part d'un autre artiste, bien plus doué que moi, mais je ne sais plus qui ^^).

     

    L'étape du vilain petit canard, c'est ce moment où tu es suffisamment avancé pour avoir une idée de ce que c'est censé donner, mais où l'image ne ressemble à rien. A ce moment là, en regardant ton image tu as juste envie de jeter ta tablette par la fenêtre, te planquer sous une couette et fuir à tout jamais le monde du digital painting pour tenter d'oublier à quel point tu es nul, sans intérêt, incapable du moindre progrès et j'en passe.

     

    Alors peut être qu'une fois devenu très doué, cette étape douloureuse disparait, (bon, en vrai, je crois juste qu'on apprend à la gérer) mais pour ma part, y compris pour les paintings dont je suis le plus fier (genre le crâne que j'ai dans ma galerie) absolument TOUS mes paintings passent par cette étape là.

     

    A un moment, quoi que je dessine, ça ne ressemble plus à rien.

     

    J'ai abandonné pas mal de dessins à cette étape là, et pire encore, par peur de la rencontrer, il y a des tonnes de dessins que je n'ai même pas commencé !

     

    Alors la réponse... tu l'as donnée toi même en fait. Faut se blinder le mental en se disant que c'est une étape "normale". Il faut juste pas regarder à quel point c'est laid et décevant et continuer plus longtemps. Faut se forcer, effectivement.

     

    Mais le truc, c'est que ce blocage est une peur et comme dit David Gemmel dans ses bouquins : "la peur est une couarde". A chaque fois que tu arrives à cette étape, la peur se pointe (elle peut se cacher sous différente formes, comme le découragement, la colère, la déception, la frustration, l'envie de fuir, mais au final, je pense que ça se résume juste à une forme de peur). Si tu abandonnes ton painting à ce moment là, alors la peur gagne et, la fois suivante, elle sera un peu plus forte. Si au contraire, tu arrives à passer au dessus, alors la peur perd et c'est elle qui commence à avoir peur ^_^ (et donc à moins se montrer ^^), tandis que toi, tu gagnes en confiance.

     

    Donc j'ai envie de dire que ta méthode de travail n'est pas en cause, faut juste que tu te fasses un peu plus confiance. L'étape du vilain petit canard, faut la regarder pour ce qu'elle est : un passage. Et faut l'identifier. Et quand ton painting a l'air nul, si tu te rends compte que c'est juste (juste ^^) l'étape du vilain petit canard, ben tu carres les épaules, tu dis tant pis, et tu continues, quitte à te foirer.

     

    En fait, le truc est là, faut juste que tu acceptes de te foirer. Petit canard ? Pas grave, je continue, et après cette étape, si c'est encore moche, alors faudra se poser la question des questions sur le painting lui même, mais en conscience, pas juste "bouh c'est laid, j'veux mourir" mais "qu'est ce qui ne fonctionne pas dans cette image ? Je l'identifie et je résous".

     

    C'est... compliqué à faire. Par ce qu'en fait, ça va contre ce qu'on nous apprend à l'école quand on est gamin (chaque problème a une solution tu trouves tu as les points, tu ne trouves pas, t'as zéro (et caché derrière : tu es un zéro). Accepter l'échec comme une part du processus d'apprentissage est fondamental et c'est une acceptation qui doit se faire en profondeur.

     

    En fait, j'en suis venu à penser que c'était probablement plus compliqué d'intégrer cette idée là que de devenir un tueur en painting, parce que c'est le préalable. Une fois, la peur de l'échec maitrisée, tu peux enfin savourer le processus d'apprentissage et les progrès arrivent.

     

    Enjoy the path !

×
×
  • Créer...