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Winch

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Messages posté(e)s par Winch

  1.  

     

    Cette reproduction est une œuvre de la fin du 19e ou peut-être du début du vingtième siècle. Signée Eler ou Elem, un illustre inconnu, cette représentation m'a toujours touchée : le climat et la solitude le dispute au poids du labeur, comme une certaine résignation ou une lenteur de la vie, mais assurément pleine de force, jusque dans la résistance évidente de ces arbres squelettiques. Une peinture acquise aux Puces par mes parents, il y a très longtemps. Ce n'est pas faute d'avoir cherché sur le net, mais je n'ai rien trouvé sur cet artiste.

     

    Paysage-Breton-72.jpg

     

    A la suite, l'ébauche de cette reproduction et le tableau original.

     

    Ebauche-1-1.jpg

     

    Original-Paysage-Breton-72.jpg

  2. J'ai poussé quelque peu l'étude de la peinture de maître, histoire de voir si j'en étais capable...

     

    Parti de la feuille blanche et d'un croquis, j'ai constitué une palette de couleur en quatre étapes : le ciel, la mer, la plage et les rochers et, pour finir, le personnage.

     

    Je mets quelques exemples sur ma façon de procéder et de l'avancement de l'ouvrage.

     

    Afin de corser la difficulté, à aucun moment j'ai effectué un contrôle à la pipette sur l'original. Je me suis dis que le rendu final, probant ou non, serait celui de ma perception des couleurs. Sans être dans l'extrême précision, loin s'en faut, je ne pense pas m'être trop écarté du modèle. Enfin je pense...

     

    J'ai consacré environ 20 heures à cette réalisation.

     

    Avancement-1-1.jpgAvancement-2.jpgAvancement-3.jpgEtude-de-maître-2.jpg

     

    Deux autres sujets de ce chapitre complètent l’illustration de mon propos : pas trop de difficultés sur le réalisme des volumes, mais j'ai ressenti  une certaine lassitude dans "l'environnement fantasy", pas très évident, à mes yeux et, pour tout dire, un peu perdu dans cette phase de composition. Pour quelle raison ? Je n'en sais trop rien. Wait and see !

     

    Rendu-réaliste-boules-et-élypses.jpgEtude-Fantasy-fleur.jpg

  3. @fifine

     

    Bonsoir Fifine, tout dépend des chapitres. le "zéro" est rapide d'accès. le "un" et déjà beaucoup plus lourd et dépend des exercices que tu souhaites accomplir et ton exigence au niveau des finitions. Pour ma part, la montagne m'a demandé environ quarante heures. Si tu rajoutes le poivron, la tasse et les exercices techniques tu peux compter une dizaine d'heures en plus. Tout dépend te ton niveau d'exigence ! De ce que je vois, chaque chapitre (les premiers en tout cas) exige entre 10 et 30 heures "d'entrainement" pour un béotien (comme moi) en essayant de faire le travail au mieux. Un "chantier" comme les oisillons (pas encore terminé) représente une vingtaine d'heures. Je suis certainement lent, c'est vrai. Les plus rapides et les plus doués mettront assurément moins. L'avantage de ces cours c'est de pouvoir avancer à son rythme, sans contrainte et en prenant du plaisir... Bon amusement !

  4. Dans cet exercice de SF (cours 3 exercice 4) j'ai un peu pataugé au départ, dans la réalisation des premières silhouettes du fond. Je trouvais que ça n'avait aucune gueule et m'y suis repris trois ou quatre fois avant de réellement démarrer. J'ai modifié les couleurs du ciel, un peu plus rougeoyant, et utilisé le brush 409 "ground pebbles" pour les détails. "L'objet non identifié" représente un mélange de volumes étudiés dans les chapitres précédents et la toile en forme de parachute un complément des "bords perdus"... quatre ou cinq heures de travail, environ, (peut-être un peu plus : le temps passe vite !) y compris les balbutiements du départ.SF-2.png

  5. @arcange

     

    J'ai commis une erreur dans le post du premier dessin et je viens de le retirer à l'instant. Ma réalisation est bien celle située ci-dessus et l'explication est bien celle-ci :

     

    La montagne en hivernale est redoutable, c’est bien connu. Là, je suis évidemment en basse altitude, c’est à dire dans les tout premiers cours, mais avec une difficulté de taille. J’ai longuement calé sur cette montagne déneigée, exercice autrement plus facile si cette photo avait été prise en plein hiver, complètement plâtrée. On ne fait pas toujours ce que l’on veut !

     

    Au début, j’ai utilisé la technique du lasso puisque c’était l’objectif, mais, très vite, j’ai réalisé un quadrillage afin d’opérer sur des petites zones et (essayé) obtenir un réalisme plus probant. J’ai saturé à plusieurs reprises et me suis évadé dans d’autres exercices puis revenu à cet ouvrage sur les premiers plans avec, toutefois, un œil critique et inquiet sur ce sacré massif qui semblait me narguer à chaque ouverture.

     

    L’autre partie longue (en temps) et pas très payante dans le rendu et l’avancement se trouve sur la moitié gauche du premier plan, avec une palanquée de microdétails qui m’a considérablement ralenti dans mon avancement. Mais arrive-t-on réellement à être satisfait dans un rendu de ce type ?

     

    Le plus facile dans ce travail se trouve, pour ma part, dans les trois parties restantes, c’est-à-dire le massif droit du premier plan, les cascades et le plan d’eau. Il suffisait de trouver le bon brush, d’ailleurs et encore une sacrée difficulté sur laquelle j’ai passé beaucoup de temps en essais divers. Ceci étant, lorsqu’on tient le bon outil et avec la patience, on arrive à ses fins...

     

    J’ai utilisé cinq six brushes, sur lesquels je suis tombé un peu par hasard, en utilisant différents réglages. Là, j’ai manqué un peu d’organisation en essayant de les retrouver au fur et à mesure.

     

    Au total, j’ai dû passer une quarantaine d’heures sur l’image.

     

    Vos critiques sur ce qui devrait être amélioré seront les bienvenues, elles seront forcément importantes, car, pour ma part et à force d’avoir la tête dans le guidon, j’ai perdu un peu d’objectivité sur ce paysage.

  6. J'ai un peu anticipé sur l'étude du crâne. Après avoir réalisé le DP, je me suis aperçu que l'étude se poursuivait dans le chapitre 4, auquel je n'avais pas encore accès à l'époque. Je m'en suis vu, tout comme la montagne, et j'ai pris beaucoup de retard dans l'évolution des cours. Petite avance dans le chapitre 4 à moins qu'il y ait nécessité d'apporter d'importantes corrections... Tout dépendra de vos critiques...Crane-croquis-3.jpg

  7. La montagne en hivernale est redoutable, c’est bien connu. Là, je suis évidemment en basse altitude, c’est à dire dans les tout premiers cours, mais avec une difficulté de taille. J’ai longuement calé sur cette montagne déneigée, exercice autrement plus facile si cette photo avait été prise en plein hiver, complètement plâtrée. On ne fait pas toujours ce que l’on veut !

     

    Au début, j’ai utilisé la technique du lasso puisque c’était l’objectif, mais, très vite, j’ai réalisé un quadrillage afin d’opérer sur des petites zones et (essayé) obtenir un réalisme plus probant. J’ai saturé à plusieurs reprises et me suis évadé dans d’autres exercices puis revenu à cet ouvrage sur les premiers plans avec, toutefois, un œil critique et inquiet sur ce sacré massif qui semblait me narguer à chaque ouverture.

     

    L’autre partie longue (en temps) et pas très payante dans le rendu et l’avancement se trouve sur la moitié gauche du premier plan, avec une palanquée de microdétails qui m’a considérablement ralenti dans mon avancement. Mais arrive-t-on réellement à être satisfait dans un rendu de ce type ?

     

    Le plus facile dans ce travail se trouve, pour ma part, dans les trois parties restantes, c’est-à-dire le massif droit du premier plan, les cascades et le plan d’eau. Il suffisait de trouver le bon brush, d’ailleurs et encore une sacrée difficulté sur laquelle j’ai passé beaucoup de temps en essais divers. Ceci étant, lorsqu’on tient le bon outil et avec la patience, on arrive à ses fins...

     

    J’ai utilisé cinq six brushes, sur lesquels je suis tombé un peu par hasard, en utilisant différents réglages. Là, j’ai manqué un peu d’organisation en essayant de les retrouver au fur et à mesure.

     

    Au total, j’ai dû passer une quarantaine d’heures sur l’image.

     

    Vos critiques sur ce qui devrait être amélioré seront les bienvenues, elles seront forcément importantes, car, pour ma part et à force d’avoir la tête dans le guidon, j’ai perdu un peu d’objectivité sur ce paysage.

  8. Bonjour à toutes et tous,

     

    Intéressé par le montage photo, je pratiquais très modestement avec l’outil Photoshop. Et en regardant des ouvrages et des vidéos sur le sujet, je suis tombé sur une réalisation en DP. Conscient qu’il me fallait un équipement un peu plus sophistiqué que la souris, en recherche d’une tablette et de fil en aiguille, j’ai abouti sur un clip YouTube de Spartan sur une critique se la Huion Q11K. Curiosité piquée au vif sur les réalisations effectuées par "le Grand Timonier " et néanmoins tortionnaire de Léonardus, qui lui rend bien, ainsi que par la dédramatisation du sujet et son approche ô combien pédagogique, j’ai attaqué les premiers chapitres gratos et continué dans la suite du programme. Je viens de terminer le chapitre 3, tout en éparpillant quelques gouttes de sueur sur ma tablette dans la réalisation de "la montagne" ou l’épreuve du lasso. Avec ma modeste expérience et malgré mes 72 balais, j'ai la certitude que la pratique des cours de DPS est l’assurance "d’un pacte d’éternelle jeunesse", à travers la découverte de nouvelles techniques et l'accessibilité d'un art apaisant et plein de satisfactions. En faisant référence à Faust, ce n’est pas ce diable de Léonardus qui me contredira...  Autant se mettre bien avec tout le monde !

  9. Boardwalk Empire est une série de 5 saisons de 12 épisodes chacune. Le dessin présenté est inspiré d’une image finale du dernier épisode de la saison un.

     

    Pourquoi ce sujet ?

     

    C’est une époque charnière entre un passé sombre (14-18) et un avenir festif où l’insouciance, la réussite, l’extravagance, le modernisme, la compromission, le banditisme, le racisme, le libéralisme, le puritanisme, la corruption, les lâchetés ... vont définir la société de l’entre-deux-guerres, l’exalter puis l’abimer dans un nouveau conflit... Mais est-ce bien différent de notre société actuelle ?

     

    Atlantic City, dont sont issus le lieu et le décor du film, symbolise, en quelque sorte, toutes les facettes de la société américaine de l’époque.

     

    La série est bien entendu réalisée entièrement en décor, puisque la ville actuelle n’a plus grand-chose de commun avec l’année 1920, si ce n’est, peut-être, le Boardwalk !  Détruit récemment lors d’une tempête cyclonique, comme en connait les US, ne subsiste de cette série que des photos de la construction et vestiges de ce gigantesque trompe-l’œil.

     

    J’ai refait les boutiques, hôtel et casino du Boardwalk le plus fidèlement possible à partir d’éléments publiés sur le NET. Mon interprétation crépusculaire dans une aube naissante a essayé de traduire ma vision de ce lieu et de cette époque en m’aidant uniquement des cours des trois premiers chapitres de DPS.

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